La rue de l' école Lavigerie
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La rue de Bône
Une incursion
- poussée dans les profondeurs du passé
découvre une rue de Bône
légèrement différente de nos souvenirs d' écoliers.
Mais c' était notre rue .......
Remerciement à :
- Chérif Benbalagh et Michel Villet
pour les photos prises en 2000 et plus.
- Alain Rostoll
pour la description du bas de la rue de Bône.
Débutant place de la Lyre- à hauteur du numéro 8, la rue de Bône montait en direction de la rue rovigo.
- Après une première partie rectiligne,
elle laissait sur sa droite la rue de Nuits, qui en montant vers la rue Rovigo formait une angle
presque que parfaitement droit pour aboutir à hauteur du numéro 67.
- A hauteur de la rue de la Nuits,
la rue Bône formait un Y, dont la branche de droite se transformer en impasse et celle de gauche
nous menait directement sur l’ancienne entrée de l’école Lavigerie.
Dans cette partie, elle aussi rectiligne,
- on avait à gauche en montant, le magasin de la marchande de bonbons et
sur la partie droite, il y avait . . .
Mais laissons à
Alain Rostoll, la joie de narrer ses souvenirs d’enfant..
Le magasin de la marchande de bonbons.
Récit de Alain Rostoll :
« Mais pour moi la rue de Bône, et l’école Lavigerie représente beaucoup de choses, car mon père,
avait un atelier de menuiserie dans cette rue, un peu plu bas que l’école.
C’est pour cela que nous, mon frère et moi, y sommes allés.
Mon frère Guy, né en 1948 et moi en 1954.
L’atelier de mon père était au numéro 5, à coté de l’épicerie et en face,
si mes souvenirs sont bons,
d’un « bain maure », mon père m’a raconté qu’avant c’était une sorte de gymnase d’un club de foot.
On voit sur la photo suivante un semblant de but. Mais ???
Avec son associé, il s’était installé en 1948, l’ entrée était dans la rue de nuits, ce n’est qu’en 1951,
qu’ils firent une autre ouverture rue de Bône.
Sur le seuil de la nouvelle entrée de la menuiserie, on voyait la porte de l’école. »
Emplacement de l'ancien bain maure.
A hauteur de la porte d’entrée de l’école Lavigerie,- la rue de Bône
tournait à droite et montait en escaliers pour aboutir rue Rovigo entre le numéros 61 et 63,
dans ces escaliers assez raides, il y avait deux paliers :
- Le premier à hauteur de la rue de Garoué,
cette rue débutait un virage plus bas dans la rue Rovigo à hauteur du numéro 18.
- Le second pour permettre l’entrée dans la dernière maison de la rue de Bône.
Les escaliers de la rue de Bône vue du haut de la rue Rovigo.