Le Trésor de la Casbah d’Alger
M. Marcel Emerit,
Professeur à la faculté des lettres d'Alger, Membre de l'Institut.
- Le ou les vols.
- La fameuse lettre du général Loverdo à sa femme, dans laquelle, il « dénonce ».
- C'est à partir du 17 Août 1830, que commencèrent, les premières diffamations ou fausses nouvelles.
-
Le Ministre de la guerre est contraint de publier dans les journaux un premier démenti :
« Quelques journaux, sous la foi sans doute,
de lettre particulière, de correspondants mal informés, ont écrit, qu'un soulèvement s'était produit à Alger,
les détails donnés pourraient alarmer les familles de soldats, nous confirmons que le calme règne à Alger. »
- Le 20 Août, ELLES concernaient le Maréchal de Bourmont.
- Voici l'article du journal Marseillais, Le Sémaphore.
« On nous assure, qu'on a débarqué hier dans notre port,
deux caisses contenant ensemble quatre millions, sur lesquelles on lisait : linge sale du général Bourmont.
Ce linge sale a été porté chez M. Bricogne, receveur-général des finances. »
- Après, le Maréchal de Bourmont, ce fut le tour du général Loverdo.
- Un peu d'Histoire :
- En 1834, le général Loverdo, publiait un livre, Lettre à monsieur le Lieutenant-Général Berthezène,
Le livre contenait la correspondance échangée entre les divers généraux, concernant les journées du 28 et 29 Juin,
l’occupation de la maison de l'Aga Ibrahim, et bien sur, la spoliation du trésor d’Alger.
- Le 3 septembre 1830, le Comte Loverdo, écrivait au général en chef, Comte Clauzel.
- Alger le 3 Septembre 1830.
Les saletés, qu'on a débité contre moi à Paris, ne sont parvenues à ma connaissance,
que le 29 du mois qui vient d'expirer,
j'ai immédiatement écrit à M. le Maréchal de Bourmont. .........
- Lettre à M. Le maréchal comte de Bourmont.
- Alger le 1° Septembre 1830.
Les rangs et les grades disparaissent quand il s'agit de l'honneur.
On a osé avancer qu'une corvée du 6° régiment a enlevé à la Cassaubah, par mon ordre, des effets précieux.
Cette calomnie, qui a pris origine parmi vos commensaux, a été répandue à Paris par leurs correspondants,
et même consignée dans quelques feuilles publiques, par les soins de vos secrétaires-journalistes.
Vous savez mieux que personne, que le 5 Juillet, je ne suis arrivé avec le 6° Régiment à la Cassaubah,
qu'après que vous même et votre nombreux état-major en aviez pris possession. .....
Je demande, en conséquence, qu'avant que votre autorité cesse dans l'armée,
il y soit fait une enquête pour constater la vérité, que MM. les généraux Desprez, Tholosè, Lahitte, Danremont,
et, les officiers du 6° régiment soient entendus.....
Signé Comte Loverdo .
- Le même jour, le Maréchal de Bourmont, lui adressa la lettre suivante :
Au général Loverdo.
J'avais bien entendu dire que vous aviez fait emporter des effets de la Cassaubah,
le 6 Juillet, par une corvée du 6° de ligne, mais je n'ai pas ouï dire que ce fussent des objets précieux.
Je savais d'ailleurs que ce ne pouvait être des propriétés de l'Etat, puisqu'elles avaient été mises sous le scellé. .....
Je vous invite, en conséquence, à vouloir bien vous rendre chez moi, aujourd'hui à trois heures après-midi.
Je prie en même temps, MM. les généraux Desprez, Tholosè, Lahitte, Danremont, Berthezène, Achard,
et, les officiers des voltigeurs du 6° régiment à se rendre chez moi à la même heure. ....
- Après avoir interrogé, tous les acteurs de cette calomnie, il est résulté de cette espèce d'enquête,
que le 5 Juillet au soir, quatre voltigeurs du 6° de ligne ont aidé les domestiques du Général Loverdo à monter,sous
le corridor de l'ancienne demeure du Dey, où il a passé la nuit, les cantines de cuisine, et, que deux porte-manteaux
contenant le linge et ses habits, et qu'un pareil nombre de soldats du même régiment, ont également aidé à descendre,
le 6 Juillet au matin, ces mêmes objets à la porte extérieure de la Cassaubah, où, sur la demande du général Loverdo,
ils ont été visités par M. le général Tholosè, commandant la place d'Alger.
- Note :
On constate à la lecture de ces lettres, que M. le Général Loverdo, est arrivé dans la Cassaubah,
après les petits chapardages qui ont précédés, l'arrivée du Maréchal de Bourmont, lesquels chapardages,
ont fait l’objet d'une phrase, dans la correspondance du Maréchal avec M. Polignac.
Donc, il n'a pas pu voir ce qu'il a écrit à sa femme !
Terrasses d'Alger Marie Antoni-Gautier .

- La découverte, d'après les écrits de M. Flandin d'une bourse contenant de l'or, avec une petite étiquette à M. Aubignosc.
- En 1832, M. Aubignosc, écrivait un livre : La Haute Police.
- Dans ce livre, il nommait un seul « ennemi »,
M. Bourienne, avec qui, il avait eu quelques différents du temps de l'Empereur, en 1802.
- Pour l’expédition d’Alger, il écrivait :
« Le Gouvernement royal de Charles X , m'a appelé sous sa bannière,
tant que j'y suis resté, je l'ai servi comme j'avais servi l'Empereur, je ne l'eusse jamais trahi.
Je fus remplacé,
sans qu'on daignât m'en donner l'avis, et je ne l'appris officiellement que par l'arrivée d'un successeur. »
- Il rentra en France en Novembre 1830.
- En 1836, il publiait un second livre : Alger, de son occupation depuis la conquête.
- Dans ce livre, sur une page, sans nommer les membres de la commission, il précise :
« La surprise fut extrême,
quand on vit cette commission d'enquête prise dans l'entourage venu à la suite du Général Clauzel.
Un des commissaires vient de subir une condamnation à l'amende et à un an de prison,
pour son obstination à suive un projet d'escroquerie, médité alors qu'il exerçait ses fonctions de juges.
La cour royale de Paris, et la cour de cassation ont confirmé ce jugement.
Le condamné était l'orateur et le grand faiseur de la commission d'enquête. »
- Le baron Louis, et sa petite phrase à l'assemblée, le 18 Septembre 1830, modifiée par M. Flandin.
- Louis Joseph-Dominique.
Commissaire aux Finances, nommé par la Commission municipale, le 30 Juillet 1830,
Ministre des Finances du 11 Août au 28 Octobre 1830.
Le baron Louis, prit une part active au renversement de Charles X, et à l'établissement de la monarchie de Juillet.
- Effectivement,
le baron Louis a bien prononcé une phrase, extraite d'un long discourt sur une demande augmentation du budget.
- Séance de l'assemblée du 18 Septembre 1830.
Le Baron Louis :
« Vous connaissez tous Messieurs, l'objet principal de ces dépenses, c'est Expédition d'Afrique, dans laquelle la bravoure
de nos soldats, a réparé toutes les fautes du gouvernement, cette entreprise a commencé en violation de tous les principes....
Vous étiez réunis, il y a six mois, et une grande dépense a été résolue,
consommée sans votre assentiment, la plus haute des juridictions est saisie de cette importante question. ....
Nous avons trouvé la dépense commencée, nous n'avons d'autre rôle à remplir que celui de vous la dénoncer.
C'est ce que nous venons faire aujourd'hui, en y ajoutant une demande de crédit pour la continuation des dépenses commencées. »
- Puis, suivent, une longue énumération de postes de crédit, engagés par le précédent gouvernement.
Le baron Louis conclus cette énumération par :
« La récapitulation de ces divers crédits donne : pour la marine 28.140.000, pour la guerre 33 millions,
pour les affaires étrangères 500.000, pour l'intérieur 5.850.000, pour un total de 67.490.000 frs.
Sur cette somme, 55.186.900 sont exclusivement imputables à l'expédition d'Alger, qui paiera à peu près les frais qu'elle a couté,
et qui aurait produit bien au-delà, si la probité de quelques agents avait été plus générale (rire dans l'assemblée). ... »
Note : le baron Louis n'avait aucune preuve de ce qu'il avançait.
- Le Baron conclut par une demande :
« Vous voyez, messieurs que les comptes ne sont pas alarmants,
et qu'après une expédition couteuse, une vingtaine de millions pèseront à peine sur nous au-delà du budget.
L'ordre se rétablit malgré les vains efforts de ceux qui voudraient le troubler. ...
Le Gouvernement a compté et compte encore sur le bon sens public.
Si la raison ne suffisait pas, il s'appuierait sur la loi et sur la nation armée (mouvement de protestation dans l'assemblée). »
- Puis le ministre donne lecture du projet d'augmentation de 67.490.000 francs.
- Mais quelques jours avant,
le 7 Septembre 1830, le Ministre des Finances, avait écrit à l'inspecteur général des Finances M. Lafaurie :
« Le trésor de la Casbah est arrivé à Toulon.
Recevez le, vérifiez-le, faites-le porter à la banque et au Trésor.
Vendez, changez, fondez, j'ai mis à votre disposition un délégué de la Banque, un essayeur de la Monnaie,
un agent du Trésor, Je vous donne quarante à cinquante jours !!!! »
- Que nous décrit, M. Lafaurie, dans son livre, Un fonctionnaire d'autrefois :
« Par les soins de ces commissaires, monnaies turques et monnaies européennes,
sequins de Venise, ducats de Naples, piastres d'Espagne et quadruples s'alignent, se comptent, se pèsent.
Moins de quarante millions, fondus en lingots, étirés en barres, frappés en Louis. »
- En 1846, M. Lafaurie sera Conseiller Maître à la Cour des comptes.
Détails du montant du trésor, présentait dans le livre de M. Lafaurie.

- MM. Firino, et Denniée pour être devenu milliardaire grâce au trésor.
- D'après M. Emerit, les agents suspects étaient M. Denniée, et M. Firino ;
précisant que l'un et l'autres avaient à leurs retour d'Alger, remboursé tous leurs nombreux créanciers.
- Chronologie des événements de cette affaire.
- La commission d’enquête.
- Le 8 Septembre 1830, le général Clauzel nommée une commission d'enquête, elle se composait de
MM. le Général Delort, Fougeroux, Cadet-de-Vaux, Pillaut-Debit, M. Flandin, en fut nommé secrétaire.
- Le 22 Octobre 1830, elle déclarait qu'il n'y avait eu aucun détournement de fonds.
- M. Pillaut-Debit refusant de prendre part au vote,
car il demandait un suppléant d'information, concernant le vol de la Monnaie. - M. Flandin avait protesté contre cette décision.
- Les démarches de M. Flandin.
- Le 23 Novembre 1830, il écrivait au ministre de la guerre, pour protester contre cette décision.
- Le Ministre nomma une nouvelle commission, composée des généraux Belliard et Cubiéres,
de l'intendant militaire Boudrevand, du colonel Paixhans, et du sous-intendant militaire Boissy-d'Anglas.
Cette commission adopta les conclusions de la commission d'Alger.
- Je passerai sur les nombreuses lettres de chantage envoyées au ministère de la guerre,
et, sur ses divagations concernant le maréchal de Bourmont et le roi Charles X.
- Finalement, il écrit au Roi.
- Dans sa lettre,
il demandait pour le prix de ses révélations sur la dilapidation du trésor d'Alger, la somme de 10.000 francs,
sur les fonds secrets du Roi, plus une multitude d'avantages pour lui et pour son fils, et, il réclamait
la place de Receveur-général des Bouches-du-Rhône, détenu par M. Jean-Baptiste André Firino.
Cette avance lui fut accordée provisoirement !
- Le roi transmit la lettre au gouvernement, et, le ministre de l'intérieur fit venir M. Flandin, et, lui déclara,
que le Gouvernement avait décidé ouvrir une instruction judiciaire, sur la dénonciation qu'il ferait.
- M. Flandin hésita longtemps.
- M. Flandin écrivait également des lettres anonymes aux personnes qu'il accusait, Denniée, Tholozé et Firino.
- Puis, un jour, Il alla trouver M. Péan de Saint-Gilles,
notaire de M. Denniée, il lui proposa de ne pas poursuivre M. Denniée, en échange d'une somme d'argent.
Le notaire de M. Denniée déclara qu'il prendrait en compte cette demande, uniquement, si M. Flandin
l'y autorisait par une lettre formelle.
Cette lettre fut donnée,
la réponse de M. Denniée fut qu'on pouvait, maintenant, porter plainte contre M. Flandin.
- Les lingots d'argent de la banque d'Angleterre.
- M. Flandin écrivit au préfet de police M. Treilhard, et plus tard, au vicomte Melbourne, alors Ministre de l'intérieur
en Angleterre, pour leur signaler de prétendus envois de lingots d'argent, qui auraient été adressé d'Angleterre par
la maison Heath and Co, à la maison Hagermann, lingots qui proviendraient du trésor d'Alger.
- Le vicomte Melbourne, trompait par le titre officiel,
que s'était donné dans sa lettre M. Flandin, fit traduire M. Heath devant le chef de la police de Londres.
- Des enquêtes et des perquisitions eurent lieu.
Les livres de comptes des deux maisons furent soumis aux investigations de la justice.
- Il résulte de ces investigations, qu'à la fin de l'année 1830, la maison Heth and Co, avait expédie à la maison Hagermann,
548 caisses contenant 2.189 barres d'argent, qui provenaient de la banque d'Angleterre.
- M. Heath décida de porter plainte contre M. Flandin.
- Les procès.
- Un beau-jour, M. Flandin se décida à porter plainte contre MM. Tholozé, Firino, et Denniée,
cette plainte comportait 16 chefs d'accusation, elle fut déposée par M. Flandin, entre les mains du juge d'instruction,
M. Zangiacomi, qui déjà, avait été saisi de cette affaire.
- Une longue instruction eut lieu, de nombreux témoins furent entendus, parmi lesquels figuraient,
les officiers et les soldats, qui avaient gardé les salles du trésor, ceux qui l'avaient conditionné, tous les généraux de
l'expédition d'Alger, tous les membres des commissions.
-
Sur cette plainte intervint, le 30 Août 1834, une ordonnance de non-lieu.
Il résulte de cette ordonnance, qu'il n'y a pas eu de détournement du trésor, et que M. Flandin est condamné
pour dénonciation calomnieuse.
Les plaignants sont :
MM. Denniée, Firino, Tholozé, Sir Heath, directeur de la banque d'Angleterre, et,
M. Hagermann, banquier à Paris, consul en France du roi de Sardaigne.
- M. Flandin, comparu le 29 Novembre 1834,
devant la 7° chambre de Paris, Présidée par M. Roussigné, comme prévenu de dénonciation calomnieuse.
- Nous reviendrons sur les minutes des divers procès dans d'autres pages,
mais pour démontrer la mauvaise foi de M. Flandin, en voici un court extrait :
-
Flandin : Dans mon rapport, j'ai écrit : « En ce qui touche le pillage de la Monnaie, la responsabilité
de la commission peut être engagée par les circonstances diverses rapportées de ces faits .... » - L'Avocat du Roi : Vous lisez mal, M. Flandin, ce ne sont pas les termes du rapport.
- M. Flandin : Ce sont les termes exacts.
- L'Avocat du Roi : La copie que j'ai entre les mains, n'est pas ainsi conçue.
- M. Flandin : Je ne connais pas votre copie.
- L'Avocat du Roi : Voici ce qu'on lit sur ce rapport qui est signé de vous.
« La responsabilité de l'intendant en chef de l'armée.. ». Et, vous vous lisez : « la responsabilité de la commission.... ».
Le tribunal appréciera votre bonne foi.
- Le tribunal condamnera M. Flandin à un an de prison, 3.000 francs d'amendes,
et, 6.000 francs de dommages et intérêts envers les parties civiles.
M. Flandin ira en appel de ce jugement.
- L'audience de la cour d'appel de Paris, du 16 Janvier 1835, présidée par M. Jacquinot-Godard,
nous rapporte ce fait étrange :
- A l'appel de la cause, M. Flandin l'appelant, ne répond pas !
- Le Président : Audiencier, appelez M. Flandin à l'extérieur.
-
L'huissier revient après quelques instants, et déclare :
M. le Président, M.Flandin est dans le couloir, mais il déclare qu'il ne veut pas comparaître.
- La cour donne défaut contre Flandin, et ordonne qu'il soit passé outre au jugement de fond.
La cour confirme purement et simplement le jugement de la première instance, en mettant toutefois,
les dépens de l'appel à la charge des parties civiles, sauf le recours contre Flandin.
- Lors des audiences du 13 et 14 Février 1835, présidées par M. Jacquinot-Godard, nous apprenons,
que M. Flandin, avait écrit, le 18 octobre 1833, au procureur du Roi, pour dénoncer une fraude et un détournement,
par M. Denniée et Firino, de 87 sacs d'argent, pour une valeur de 1.115.600 francs.
- La cour déclarera que
toutes les allégations de M. Flandin, ont été reconnues comme n'avoir aucun fondement,
et, que l'instruction qui eut lieu alors, en a démontré la fausseté.
Elle considére que la peine prononcée et les dommages-intérêts adjugés ont été justement proportionnés
au délit reconnu, elle confirme les précédents jugements.
- M. Flandin ira en cassation.
- Conclusion.
- Dans l'ensemble de ses écrits, M. Flandin utilise le mot « la commission », alors qu'il écrit en son nom,
c'est de cette manière qui trompera le vicomte Melbourne, ministre de l'intérieur.
- Utilisant uniquement le dossier Flandin, M. Emerit, nous dit,
« M. Jean-Baptiste André Firino, est ruiné avant l’expédition,….puis, Il a fourni un cautionnement de 750.000 f ... »,
- Mais M. Emerit oublie la charge de M. Firino,
Receveur général des finances des Bouches-du-Rhône, dès le 1 Janvier 1831, et, faisant office de Banquier,
pour vendre de la rente à 5%, comme le souhaitait le gouvernement dès Octobre 1830.
- Extrait du jugement du Tribunal de commerce de Marseille.
-
Affaire Cayol contre Firino, montant 3.000 francs, achat de rente à 5% sur l'Etat.
- Le 21 octobre 1831, M. Cayol assigne M. Firino devant le tribunal de commerce.
- Extrait du jugement :
Attendu que l'exécution des achats de rente, de la part des receveurs-généraux, résulte d'une obligation,
qui leur est imposée par la loi dans l'intérêt des particuliers.
Que, dans ces sortes d'opérations, le receveur agissant essentiellement comme agent du trésor,
ne peut être considéré comme commerçant.
Le tribunal condamne le sieur Cayol aux dépens.
- M. Firino était un excellent «vendeur » de rente, et bien entendu, il touchait des profits,
comme le montre l'extrait du journal La Semaine, cette charge rapportait beaucoup d'argent.
Détail du journal La Semaine du 29 juillet 1849.

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