../ Alger,Le rallye Alger - Le Cap,(suite),Organiser une épreuve de cette importance devait représenter une somme de travail et de risques que les officiels en charge de ce premier tracé, cinq années seulement après la fin de la deuxième guerre mondiale, durent aborder avec une certaine anxiété. A l’époque, les communications n’étaient pas faciles, tant au niveau des routes, qui n’étaient plus bien souvent que des pistes, faute de moyens techniques ou financiers pour les entretenir, que des relations téléphoniques ou télégraphiques entre les divers territoires, encore organisés en autarcie durant les conflits, et dépendant d’empires coloniaux jaloux du pouvoir qu’ils exerçaient sur ces parcelles d’Afrique que le sort leur avait attribuées au XIXème siècle. Pour atténuer cette angoisse, il convenait de réaliser un voyage de reconnaissance. Une semaine avant le départ des concurrents, le colonel Nabal en compagnie de Baker d’Isy comme passager, à bord d’un break Delahaye piloté par Aquino, un blédard chevronné, s’élança sur la piste du Hoggar et fit étape tour à tour à Laghouat – Ghardaïa – El Goléa avant d’atteindre In-Salah.

Le rallye   Alger - Le Cap

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Une semaine avant le premier départ.


Organiser une épreuve de cette importance

Pour atténuer cette angoisse,

La   palmeraie   de   Ghardaïa.

la palmeraie de Gardaïa


 

La   V.L.R.   Delahaye   de   l'équipe   Militaire   Française

Alger-Le Cap VLR Delahaye


Première épreuve   1er au 23 janvier 1951.
 

Le   command-car   Ford VB   transformé   en   pick-up   par   le   garage   Buchmann

Alger-Le Cap Ford VB

Edouard   Buchmann   au   départ   devant   son   command-car   modifié.

Alger-Le Cap Buchmann et son Ford VB


 

Epilogue
 

La Peugeot 203 de l’équipage Mercier/De Cortanze lors de son embarquement à Alger.


Alger Le rallye peugeot 203 mercier/de cortanze 1951


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