La   Casbah   d'Alger.




En   montant   vers   le   boulevard   de   la   Victoire.




Notre petite ballade
  • va nous amener de la Place Lavigerie au boulevard de la victoire
    à quelques pas de la rue des Mamelucks.
     
  • Nous allons remonter vers la haute ville en emprunter une grande rue
    qui traverse toute la casbah de bas en haut.
     
  • Tout au long de cette longue montée vers le boulevard de la Victoire,
    nous allons nommé toutes les rues que nous allons rencontré et en
    présenter quelques une.

 

De la place Lavigerie,
  • on montait sous les arcades de rue de la Lyre, l'ancienne rue Napoleon,
    en direction du marché de la Lyre.


La   rue   de   la   Porte   Neuve.


La   rue   de   la   Porte   Neuve.                            

La rue de la porte neuve

Sous les arcades de la rue de la Lyre,
on laissait sur notre droite :
  • La rue du Lézard
  • La rue Solférino

Avant de pouvoir emprunter
  • la très longue rue porte neuve qui
    montait jusqu'au boulevard de la Victoire.



Un pied encore rue de la Lyre,
  • on laissait au tout début de
    la rue porte neuve sur notre droite
    la rue Benachére qui montait jusqu’à
    la place Rabbin Bloch.

     
  • Un peu plus haut, de l’autre coté,
    La rue Pompée,
    qui a résisté au plan de 1870.



 


A cette époque, en 1870,
  • C’était la rue pompée qui avait été choisie pour le tracé de la rue Randon.
     
  • Mais c’est finalement la rue des Oranges qui en fera les frais et qui disparaîtra,
    lors de construction de la rue Randon.


Une fois franchit la rue Randon,
  • Une série d’escaliers nous conduisait :
     
    • Sur la gauche, rue de la Grenade ,
    • Plus haut sur la droite, rue des Abderames.





La rue des Abderames.



C'est dans cette rue :
 
  • au n° 5 que furent tués le 8 Octobre 1957, pendant la bataille d' Alger,
     
      • Ali la Pointe,
      • Hassiba ben Bouali et
      • Omar


    qui faisaient partis du groupe de Yacef Saadi responsable
    des attentats à la bombes du grand Alger dont furent victimes de nombreux Algérois.



La   rue   des   Abderames.

La rue des Abderames






La rue des Abderames
Contrairement à la description
  • faite dans le films de Pontécorvo et Yacef Saadi.
    La Bataille d'Alger
     
  • Il n’y a jamais eu d’affrontement direct entre
    les parachutistes et le groupe d’Ali la Pointe.
     
  • Au lever du jour,
    les parachutistes installent une petite charge de plastic sur un coin de mur de la cache d’Ali la Pointe.
     
  • Elle explose, à la stupeur générale,
    une violente déflagration en chaîne se produit.
     
  • La maison située au fond de l’impasse Silène
    qui donnait dans la rue Brahim Fatah
    (anciennement rue de la Girafe) s’effondre,
    causant la mort d’innocentes victimes.
     
  • Des parachutistes postés sur la terrasse,
    se retrouveront à l’étage inférieur.


 

Voila pour l’histoire,
  • Mais continuons notre montée de la rue porte neuve, aprés la rue des Abderames.



Impasse   de   la   Porte   Neuve.                            

Impasse de la porte neuve
On laissait à gauche :
 
  • La rue des dattes et
  • l'impasse Porte Neuve
    qui deviendra après 1870
    Impasse Bertholon.

et à droite :
  • la rue d'Anfreville et
  • la rue Zama


Avant de devoir se baisser
 
  • pour passer sous derb el Kosseir  

       La rue du Sabbat,
     
  • le plus bas   sabbat   de la Casbah avec,
    à peine un mètre cinquante de haut.





 

Cette rue voûtée
  • servait de passerelle entre la rue de la porte neuve et la rue de la mer rouge.
     
  • La rue du Sabbat aboutissait au début de la rue de la Mer Rouge au numéro 2.



La   rue   du   Sabbat.

La rue du Sabbat





La rue de la mer rouge.


Elle figure sur de nombreuses cartes postales.

La rue de la mer rouge

 
  • C’est toujours le même endroit que
    les photographes ont immortalisé vers 1870.



     
  • On descendait les escaliers de cette rue,
    légèrement tortueuse en son début, avant
    d’arriver sur la partie un peu plus droite et
    surtout plus plane.



     
  • Elle aboutissait
    dans le haut de la rue Médée à l’intersection
    de cette rue avec la rue de la datte qui donnait
    dans la rue Porte Neuve.




 

La rue de la mer rouge immortalisée par les photographes vers 1870.


La rue de la mer rouge La rue de la mer rouge























La rue de la mer rouge La rue de la mer rouge























La rue de la mer rouge




Laissons les photographes de la rue de la Mer Rouge,
et poursuivons notre montée de la rue Porte Neuve, sur la page suivante.


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