De la prison civile ( Barberousse ) à la Place de la Lyre ( suite ).
Vers 1870,
- La rue Marengo,
- la place Rabbin Bloch,
- la rue Randon
n’existaient pas encore.
Il y avait d’autres rues et surtout d’autres impasses.
La rue Sidi Abdallah.
Avant le percement des rues Marengo et Randon,
La rue Sidi Abdallah.
La rue Sidi-Abd-Allah
- debutait a l’intersection de
- la rue de Staouéli,
- de l’impasse Gagliata et
- de l'impasse Berga,
juste un peu au dessus de la rue Saint Vincent de Paul.
Dans son ascension
- vers la rue Kléber, elle ne croisait que deux rues :
- La rue de Staouéli
- la rue Desaix.
Quelques années plus tard,
- Elle débutera rue Marengo qui a été édifié
sur l’impasse Gagliata.
Note :
- il existe juste à coté une rue Gagliata qui débute rue Marengo, cette rue a été crée lors
du percement de la rue Marengo, elle n’a rien avoir avec l’ancienne impasse Gagliata.
Mais continuons notre montée de la rue Sidi Abdallah.
La rue Sidi Abdallah.
- Elle laissera sur sa droite,
la rue Staouéli à hauteur du numèro 4 de la rue.
- Passera devant son impasse, sur sa gauche au 17.
- Rencontrera la rue Bologhine
qui a remplacé la rue Desaix au 23,
- Croisera sur sa gauche la rue Kléber au 20,
- Puis un peu plus haut, toujours au numéro 23,
c'est au tour de la rue N’Fissa.
Les derniers escaliers de la rue Sidi Abdallah.
- Lors de sa rencontre
avec la rue de la Grue au numéro 26.
- Elle bifurquait sur la droite,
pour aboutir dans la rue de Thébes par une série d’escaliers en pente douce, au 27 de la rue.
- C’était une rue assez plane,
avec quelques escaliers dans sa partie finale.
- La Mosquée
du même nom avec sa petite école coranique
se situait au numèro 23.
- Apres cette lente montée,
redescendons toute la rue.
Nous voici donc rue Marengo.