Alger,La rue de l'Intendance,c'est de la place Royale que partent les grandes voies qui mêment aux quatiers de la Basse Casbah, avant de suivre l'une de ces voies, longeons le palais du Dey, laissons sur notre gauche la rue Ozaman, jetons une petit regard au café des sports, évitons de nous arrêter au marchand de beignets,enfin emprumtons la rue Emile Maupas encore à l’air libre, avant de pénétrer dans une première partie voûtée jusqu'à l’intersection de cette rue avec la rue de l’Intendance, Là, au N° 1 de la rue de l’intendance, à gauche en sortant de la bibliothèque,utilisons le grand heurtoir afin de nous annoncer au Palais de Dar al-Suf, La Porte de l' Hotel de la Division,Un peu d' Histoire,Hôtel Militaire,Le Palais de Dar Es Souf édifiée en 1798 par le Dey Mustapha Pacha, en 1805,Le Dey Ahmed le mit dès son avènement entre les mains des janissaires, En 1830,à leur tour, les généraux français en firent un hôtel militaire, Il devint plus tard, le siège d’un tribunal pénal,Au travers, de la grille centrale en fer forgé, dialoguons avec les gardiens du Palais afin d'obtenir l'ouverture de la porte, nous voici dans le vestibule revêtu de faïences anciennes avec de grands coffres, le long des murs, çà et là, des petits tapis reservés aux gardiens,une autre porte nous même dans la salle d'attente, La skiffa,très long couloir agrémenté une banquette en mosaïque qui court tout au long de son périmètre interrompu uniquement par deux portes, des petites niches, séparées par des colonnettes double torsadées, permettent aux visiteurs d’attendre le bon vouloir de leur Hôte, Les arceaux du plafond sont décorées et garnis de dessins sur toute la longueur de la portée, La porte donnant accès au patio, se trouve au centre du couloir, à gauche, Pendant un temps, dans ce long couloir richement décoré étaient réunis des canons ayant appartenus à la flotte de Charles-Quint et retrouvés dans les sables d’Hussein Dey,

Les quartiers de la Basse Casbah

La rue de l'Intendance

C'est de la place Royale
que partent les grandes voies qui mêment aux quatiers de la Basse Casbah.
Alors, suivons l’une de ces voies :

longeons le palais du Dey
laissons sur notre gauche la rue Ozaman,
jetons une petit regard au café des sports,
évitons de nous arrêter au marchand de beignets,
enfin empruntons la rue Emile Maupas encore à l’air libre,
avant de pénétrer dans une première partie voûtée jusqu'à l’intersection de cette rue
avec la rue de l’Intendance.

Là, au N° 1 de la rue de l’intendance, à gauche en sortant de la bibliothèque ,

Utilisons le grand heurtoir afin de nous annoncer au Palais de Dār al-Sūf.

La Porte de l' Hotel de la Division.

Un peu d' Histoire :

Hôtel de la Division ou Hôtel Militaire.

Le Palais de Dar Es Souf.

Edifiée en 1798 par le Dey Mustapha Pacha.
En 1805,
Le Dey Ahmed le mit dès son avènement entre les mains des janissaires.
En 1830,
A leur tour, les généraux français en firent un hôtel militaire.
Il devint plus tard,
le siège d’un tribunal pénal.

Au travers, de la grille centrale en fer forgé,
dialoguons avec les gardiens du Palais afin d'obtenir l'ouverture de la porte.

La skiffa à colonnettes.

Nous voici dans le vestibule
revêtu de faïences anciennes avec de grands coffres.
le long des murs, çà et là, des petits tapis reservés aux gardiens.

Une autre porte nous même dans la salle d'attente.

La skiffa :

Très long couloir agrémenté une banquette en mosaïque qui court tout au long
de son périmètre interrompu uniquement par deux portes.

Des petites niches, séparées par des colonnettes double torsadées, permettent
aux visiteurs d’attendre le bon vouloir de leur Hôte.

Les arceaux du plafond sont décorées et garnis de dessins sur toute la longueur de la portée.

La porte donnant accès au patio, se trouve au centre du couloir, à gauche.

Pendant un temps, dans ce long couloir richement décoré étaient réunis des canons ayant appartenus à la flotte de Charles-Quint et retrouvés dans les sables d’Hussein Dey.

La galerie de l' Hotel de la Division.

Le patio

Salon à coupole et à plafonds polychromés.

Décor de carreaux Delft et d’Italie.

Les modèles néerlandais " importés "

sont pour la plupart bien reconnus comme tels sous la désignation restrictive de carreaux de Delft.

Ces carreaux font à peu près 13 cm ou un peu moins.
Ils sont remarquablement peu épais : 5-6mm, un peu plus pour les plus anciens.

S’ils ont été importés dans la Régence d’Alger en grande quantité à la fin du 18^e.
On les trouve en quantité dans les nombreux palais construits durant cette période.

Le groupe de la feuille en réserve comporte une bonne quinzaine de modèles.
la plupart à symétrie diagonale, quelques-uns formant frise.
Sur fond bleu ou violet, ces motifs foliacés et parfois floraux sont très décoratifs.

Grande feuille d’acanthe

Edifice d’une superficie au sol de 96m².

Comme tous les Palais, le bâtiment est organisé autour d’un patio
Il est composé d’un sous sol, d’un rez-de-chaussée et de trois niveaux supérieurs.

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