La Casbah d'Alger.
Notre petite ballade va nous amener dans le haut de la Casbah,
- dans la partie de la haute ville formait par les escaliers du boulevard de Verdun,
qui montaient vers la Medersa,
- l’arrondi de la rue Ben Chened et une petite partie de la rue de la Casbah comprise
entre la rue du Diable et la rue Sophonisbe.
La rue du Cygne.
- Les ruelles invitent à se réjouir de scènes qui surgissent,
offrant le spectacle du vécu quotidien, ou d'une clarté qui baigne la rue du Cygne,
à l'approche de la Citadelle.
La rue du Cygne.
Je l'ai sans aucun doute emprunter plusieurs fois,
- quand à partir de la rue Socgémah,
je montais jusqu'à la prison Civile (Barberrouse).
- Apres la rue de Toulon ou la rue de l' Hydre,
j'aboutissais rue Ben Chened
puis la rue de la casbah avec à sa droite
la rue du diable qui faisait un demi cercle avant de revenir sur la rue de la casbah.
- A hauteur de la rue Kataroudjil Barberousse,
j' avais à ma gauche la rue Sidi Randam,
en face la rue du tigre
et à droite la rue du Cygne qui aboutissait
boulevarde de Verdun
à hauteur de
la clinique de Verdun.
- C’était sans aucun doute le début du haut de la casbah.
- La fin de la rue du Cygne.
- Juste avant l’axe formait par la rue du tigre et la rue Sidi Ramdan
qui commencait à la fin de la rue Kataroudjil Barberousse.
La rue des Maugrébins.
La rue des Maugrébins
- était une rue parallèle au boulevard de Verdun.
- Elle commençait rue Ramon Lull,
à quelques mètres de la rue Ben Chened.
- Elle traversait la rue du Cygne,
puis la rue de l'ours avant d’aboutir
Place d’Estrées.
La rue Kataroudjil Barberousse.
- La rue Barberousse,
comme la rue des Maugrébins, était une rue parallèle au boulevard de Verdun.
Les escaliers de la rue Barberousse.
- Elle commençait
rue de la Casbah et finissait par
de larges escaliers rue des Maugrébins.
- De la rue Barberousse,
on pouvait rejoindre les rues :
- Sidi Ramdan,
- du Tigre,
- du Cygne.
La rue du Diable.
En descendant cette partie de la rue de la Casbah,
- à gauche, on croisait deux fois la rue du Diable,
cette rue avait la particularité de commençait et de finir dans la rue de la casbah.
- Elle formait un U presque que parfait.
Dans l’édition d’art d’Alger,
- Barbichon,
nous la peint avec des couleurs flamboyantes, et
nous « indique » qu’elle tourne vers son sommet
- Ruelle en arc de cercle
- commençant et aboutissant rue de la Casbah,
- quelques dizaines de mètres,
- des escaliers ....
La rue du diable par Barbichon.
Le texte du livre de Georges Pélissier
- accompagnant cette carte postale
dans La Kasbah, Notre coeur d'Alger
la décrit parfaitement.
- La rue du diable
est si parfaitement noire qu'il faut pendant les nuits sans lune emprunter l'aide de
quelque éclairage de fortune pour s'y retrouver....
- Elle grimpe sataniquement, la bien nommée, et cela,
pour redescendre d'une manièrer rapide sur la voie même où elle prit son départ....
- La rue du diable est en forme de fer à cheval porte bonheur.
Cette rue du Diable ressemblait étrangement à la rue de Toulon,
- qui se trouvait à quelques mètres de la maison qui a vu naître :
- mon Grand-père,
- mon Père et
- votre serviteur.
Quelques pas plus loin,
- la rue de la casbah traversée la rue Ben Chened,
pour prendre le nom de rue du Professeur Soualah Mohamed.
- La descente de cette rue en escalier,
nous amenait vers la rue de l’Hydre qui aboutissait rue Socgémah.
La bas de la rue du diable.
La rue du Chat.
- Mais revenons à hauteur de la rue Ben Chened
pour escalader à droite la rue du Chat qui nous amenait vers la Medersa et sa Mosquée.
La rue du chat montant vers la Medersa.
A partir de la rue Socgémah,
- il y avait plusieurs chemins pour rejoindre
la rue du Chat et la Medersa.
- Le plus court :
Montant par la rue de l’Hydre,
on aboutissait dans la rue Professeur Soualah Mohamed,
Il nous suffisait de descendre quelques escaliers à droite pour retrouver la rue du Chat.
- La plus long :
Juste avant les rues de Toulon et de le Hydre,
sur la placette, en face de la fontaine à manivelle,
la rue du Docteur Ben Larbey,
nous conduisait au centre de Y formait par
la rue Professeur Soualah Mohamed et la rue Locdor
qui aboutissait au milieu de la rue du Chat.
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